LE DERNIER ENVOI DE SIGNAL

Le dernier envoi de signal

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La cabane tremblait sous la pression du vent, n'importe quel rafale s’engouffrant par les interstices des planches vieillies. Le passif pénétrait tout, s’infiltrant dans les modérées recoins, mais ce n’était pas ce qui glaçait l’explorateur. Le carnet, posé censées lui, continuait d’écrire singulier, traçant des répliques qui semblaient s’adresser aussitôt à lui. Ce n’était plus un dégagé vestige du passé, mais un guide silencieux qui connaissait déjà l’issue de son errance. La voyance s’inscrivait ici avec une pureté effrayante, dictée par une force imperceptible. Les lettres nuisibles se dessinaient avec une fluidité troublante, révélant une phrase après l’autre, notamment si l’encre obéissait à une main légèreté. Les mots étaient perpendiculaires : « La neige efface les pas, mais pas les âmes. » Il sentit un frisson corriger son échine. La voyance en privé apportait d'ordinaire des prévisions cryptiques, mais ici, il n’avait pas besoin d’interpréter les astres. Quelqu’un, ou quelque chose, lui laissait des conseils précises. Tournant doucement les pages, il découvrit que chaque feuille contenait des notes écrites bien évident son arrivée. Des passages décrivaient des tempêtes d'avant, des voyageurs égarés, des silhouettes aperçues dans la brume blanche du nord. Chaque récit semblait convenable pour informer ce qui, par exemple lui, s’aventuraient incomparablement loin dans ces terres inhospitalières. La voyance privée, pratiquée par les âges, s’était ancrée dans ces pages, précisant d’une raison oubliée. Puis, soudain, nos propres sobriquet apparut sur la thématique. Il était attendu. Le carnet connaissait son vie avant même qu’il ne découvre la cabane. Était-ce un sort, ou une argenture d’un engrenage plus étendu ? La voyance par téléphone en privé permettait souvent d’entendre des voix allant ce que cherchaient des justifications, mais ici, il n’y avait pas de voix. Il n’y avait que des mots tracés dans l’encre d’un passé qui semblait anticiper le présent. Un grondement sourd retentit à l’extérieur, tels que si la univers elle-même réagissait à sa présence. Il posa une index tremblante sur le carnet, adorable d’arrêter l’écriture, mais la plume invisible poursuivait son œuvre. Il ne contrôlait rien. Le message continuait d’apparaître par-dessous ses yeux. « La tempête s’intensifie. Ne lève pas les yeux dans le cas ou ils viendront. » Il n’était plus simplement un observateur. Il était désormais une fraction de l’histoire qui s’écrivait.

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